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Anti-tiques & parasites pour chevaux

Les parasites externes n’ont jamais autant proliféré : hivers doux, humidité printanière et pâturages mal drainés favorisent tiques, moustiques, mouches plates et taons. Pourtant, il est possible de défendre efficacement un cheval sans pesticides de synthèse grâce aux actifs végétaux puissants développés par Allo Naturel.

Comprendre l’ennemi : de la piqûre à la maladie

Les tiques sont vectrices de piroplasmose et de maladie de Lyme équine ; les taons inoculent des bactéries, tandis que les moucherons peuvent déclencher des dermatites estivales récidivantes.
Une simple piqûre provoque :
un stress oxydatif qui fatigue l’organisme ;

des lésions cutanées propices aux sur-infections ;

une baisse d’appétit et de performance.

Signes d’alerte à surveiller
Démangeaisons violentes, cheval qui se frotte la queue ou la crinière.

Nodules durs sur la ligne du dos (mouches plates).

Fatigue inhabituelle ou muqueuses jaunies (piroplasmose).

Dès qu’un de ces signes apparaît, agir vite est capital : plus l’infestation dure, plus le risque de pathologie systémique augmente.

Pourquoi le naturel est-il si efficace ?

Les plantes se protègent depuis des millions d’années contre les insectes ; leurs molécules odorantes sont reconnues pour :
Perturber l’odorat des parasites :géraniol, citronnelle et eucalyptus brouillent les pistes chimiques qui guident les tiques vers la peau du cheval.

Attaquer le système nerveux des insectes

l’azadirachtine (neem) inhibe la synthèse de la chitine, empêchant larves et nymphes de muer.

Créer un film hydrophobe

certaines huiles végétales forment une micro-couche respirante qui empêche la tique d’adhérer.

Combinées, ces actions offrent une barrière multi-niveaux dont les parasites peinent à développer la résistance, contrairement aux molécules chimiques isolées.

Méthode « in & out »

protéger de l’intérieur et de l’extérieur

Soutien interne (février ➜ mars)

Cure de plantes drainantes : chardon-marie, pissenlit, ortie pour stimuler foie et reins.

Ail noir fermenté, riche en S-allyl-cystéine : renforce la réponse immunitaire innée.

Levure de bière vivante : source de β-glucanes antioxydants.

Objectif : préparer la peau, principal organe immunitaire, avant l’arrivée massive des parasites.

Défense externe (avril ➜ octobre)

Vaporiser un répulsif naturel complet avant chaque sortie.

Masser quelques gouttes d’huile répulsive le long de la ligne du dos les jours de grand vent.

Saupoudrer les plis du pâturon et la base de la queue avec une argile fine enrichie en neem pour assécher et décourager les tiques.

Fréquence idéale : toutes les 48 h ou immédiatement après un shampoing ou une pluie torrentielle.

Contrôle visuel quotidien

Inspecter les zones chaudes et peu visibles : entre-cuisses, base des oreilles, ganaches. Retirer les tiques avec un crochet et désinfecter sans alcool (préférer l’hydrolat de lavande, apaisant).

Optimiser l’environnement pour casser le cycle parasitaire

Assainir les pâtures : drainer les mares temporaires et faire tourner les parcelles pour laisser l’herbe repousser.

Ramasser le crottin au minimum trois fois par semaine ; le fumier est un incubateur à œufs de mouches.

Attirer les prédateurs naturels

Installez des nichoirs à hirondelles, laissez un vieux tronc pour les chauves-souris.

Choisir des clôtures aérées

Les haies denses favorisent l’ombre humide où les tiques attendent leur hôte.

Mythes

« Il suffit d’arracher la tique à la main » : faux. Pincer le corps risque de régurgiter des pathogènes dans la plaie. Utilisez un crochet et tournez doucement jusqu’à extraction complète.

« Les produits naturels sont moins puissants » : faux. Des études (IFCE 2023) montrent que le géraniol à 1 % repousse jusqu’à 90 % des tiques adultes pendant 48 h, comparé à 92 % pour un pyréthrinoïde mais sans les effets néfastes sur l’écosystème.

« Une seule application par semaine suffit » : faux. La transpiration, la pluie et le brossage réduisent la persistance des molécules volatiles ; il vaut mieux des applications répétées à faible dose qu’un grand pulvérisateur mensuel.

Exemple de calendrier d’application (cheval au pré 24/7)

Mi-mars : démarrage de la cure interne (30 jours).

1ᵉʳ avril : première pulvérisation externe + pose d’un panneau anti-mouche en lisière de pré.

Avril–mai : application tous les deux jours, contrôle visuel quotidien.

Juin–août : application quotidienne lors des pics de taons (14 h-18 h), douches fraîches en fin de journée pour évacuer la sueur et réappliquer après séchage.

Septembre : passage aux jours alternés si baisse de pression parasitaire.

Octobre : arrêt progressif lorsque les températures nocturnes descendent sous 10 °C ; surveillance résiduelle une fois par semaine.

Questions fréquentes étendues

Quel répulsif naturel pour cheval sensible aux allergies ?

Choisissez une formule sans citronnelle (potentiel allergène) et riche en huile de quinoa ou de coco, très bien tolérées.

Comment éviter l’odeur persistante des huiles essentielles avant une compétition ?

Préférez un spray sec modulé sur l’isopropyle de menthyle : il s’évapore en 15 min tout en laissant la molécule active sur la robe, sans parfum marqué.

Puis-je utiliser le même produit sur un poney shetland et un cheval de trait ?

Oui, la dose varie seulement par surface de couverture ; la concentration des actifs reste identique car elle est calculée pour la sensibilité cutanée la plus fragile.

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